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Semences de maïs : que veulent les pouvoirs publics ?


Paris, France
January 31, 2012


Lundi 23 janvier 2012, des opposants radicaux à l’amélioration des plantes et aux progrès qu’elle apporte à l’agriculture et, plus généralement, à la société, ont à nouveau envahi une entreprise de production de semences de maïs pour y commettre des dégradations de biens et des atteintes à la liberté de travail. L’Union Française des Semenciers exprime sa totale solidarité vis-à-vis des entreprises et de leurs salariés qui sont victimes de ces effractions à répétition.

Ce vandalisme est d’autant plus inacceptable que ses auteurs, toujours les mêmes, jouissent d’une impunité incompréhensible : au point d’être reçus dans les Ministères d’où ils sortent en se prévalant d’avoir obtenu des garanties conformes à leurs exigences.

« Nous déplorons l’attitude du gouvernement, » dénonce François Desprez, Président de l’UFS, « notamment celle du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable, des Transports et du Logement, et sa politique de « deux poids, deux mesures » vis-à-vis des différentes parties prenantes : d’un côté notre filière d’importance stratégique pour la production agricole, de l’autre des groupes d’individus dont la marque est l’action violente et illégale ».

Cette situation interpelle les semenciers, qui s’interrogent sur les méthodes à employer pour pouvoir dialoguer avec les pouvoirs publics. En effet, l’Union Française des Semenciers, qui représente la quasitotalité des entreprises de semences en France, a écrit aux Ministres concernés et proposé des solutions concrètes pour accompagner de manière responsable la diffusion de l’innovation en France et son acceptation par la société. Le cadre politique et réglementaire a besoin d’être clair pour que toutes les productions agricoles, notamment celle des semences, puissent trouver leur place sur notre territoire, qu’elles soient réalisées dans le cadre de l’agriculture conventionnelle, biologique ou OGM.

Alors que les Français consomment de manière totalement légale du maïs et du soja OGM depuis plus de 10 ans, comme des centaines de millions d’habitants sur tous les continents, pourquoi le gouvernement s’oppose-t-il à toute culture, condamnant de fait toute recherche en France dans ce domaine stratégique ? Pourquoi surtout refuse-t-il le dialogue avec les semenciers, qui n’ont d’autre objectif que de travailler dans le strict respect de la loi et de la réglementation et qui font de la France aujourd’hui le premier exportateur mondial de semences de maïs, avec un impact positif sur la balance commerciale de plus de 400 Millions d’€ ?

L'Union Française des Semenciers, UFS, est le syndicat professionnel des entreprises
semencières. L'UFS réunit 135 entreprises actives dans la recherche, la production et la
commercialisation de semences pour l'agriculture, les jardins et le paysage.



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Website: http://www.ufs-asso.com

Published: January 31, 2012

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